Dictionnaire fourmis noires français ainsi que noms insectes et animaux dans leur langages
Cette traduction a été effectuée a partir d’une méthode qui permet de transcrire les mouvements associés aux sons en expressions, expliquée dans le livre. Il y a des erreurs, dues aux surimpositions, aux manques de l’attention, ou de mémoire immédiate, mais dans l’ensemble on aborde le dictionnaire insecte. Des gendarmes (l’insecte gendarme), des fourmis, des scarabée, des abeilles des coccinelles ont participé a ce livre ainsi que d’autres. Nous ne savons pas si il est local à la France.
A nos morts en raison de la guerre des salades. Et de la guerre des microbes
Il semble que le langage des gendarme est un peu différent du langage des fourmis qui est aussi différent du langage des coccinelles (les trois sont abordés dans ce livre) ils ont l’air de se comprendre, les grosses fourmis sont souveraines pour émettre un son, mais on ne l’entend pas dans le domaine de l’oreille, mais dans celui de l’intérieur. Mais ne sont toujours pas, les voisins et passants de la schizophrénie. Toujours pas aussi ignobles que ces voisins et passants là, bien plus sérieuses sont les fourmis, bien plus sérieux sont les insectes, et sont, les gardiens. Il semble que les insectes volants utilisent un autre langage que les insectes marchants, ils ont d’autres, mots, mais il se comprennent, les fourmis semblent avoir le langage le plus structuré, semble avoir apporté le langage, tous se comprennent, ils ont des mots communs, des mots qui sont notés dans ce livre, on aborde donc aux frontières du dictionnaire insecte et du dictionnaire fourmis. La phrase de bienvenue me fait a chaque fois échapper au taon, il repart, cela semble donc correct, et je suis en train de corriger et réorganiser. Après en avoir discuté avec mes araignées, il semble que c’est le dictionnaire insecte, et d’après mes dernières recherches très ancien et mondial, même s’il peut exister des spécificité locale dues aux isolement des territoires (fleuves, deserts).