« Je dirais volontiers de Robert Vidalin : "C'est un romantique à l'état civilisé." Un romantique qui a goûté aux meilleures sources de la poésie du XIXe siècle. (...) Le vers livre lui a paru plus souple, plus conforme à la diversité de son inspiration ; car le vers libre n'est pas ligoté dans le corset orthopédique des douze pieds, de la rime et de l'hémistiche. » Maurice Dekobra