«4 septembre 1871. La déchéance de l'Empire venait d'être proclamée, il fallait courir place de la Concorde! Là, sous un ciel éclatant, roulait une véritable mer humaine. “Vive la République!” Moi aussi, je criais. Louise Michel me donnait la main, ses joues sillonnées de larmes. Elle était splendide, terrible et splendide comme cette révolution qu'elle appelait de ses vœux depuis si longtemps, et qui était en train de se faire, là, devant elle!»