« Hatim débouche au métro Beaubien. Il s’arrête et enregistre enfin l’anormalité de la situation. L’immense tour d’appartements au sud de la station s’est effondrée. Plusieurs triplex des alentours ne valent guère mieux. Des dizaines de mannequins sont couchés sur le sol.
Non, pas des mannequins.
Une nouvelle inquiétude double sa dose d’adrénaline.
Sa maison se trouve à plus de deux kilomètres.
Interminable distance à parcourir la peur au ventre. »
Dans le troisième tome des « Chroniques post-apocalyptiques », alors qu’Hatim cherche un sens à sa vie et se perd dans des jeux dangereux, Astride accepte de s’ouvrir un peu aux autres avec l’aide d’Armand et de Kiara. La jeune bibliothécaire rencontrera enfin la communauté du Canadian Tire, qui a bien besoin de lire.