Gala, l’épouse de Paul Éluard, est à la fois sa muse, son amour et sa blessure. Elle est devenue l’amante de leur ami commun, Max Ernst. Comment exprimer un tel déchirement ? Le poète oscille entre vers et prose pour dire sa souffrance ou ses espoirs, et crée un monde rêvé à travers des images inattendues. Capitale de la douleur rassemble une centaine de poèmes aux formes libres. Le recueil s’inscrit dans le mouvement surréaliste, qui s’affranchit des anciens codes poétiques pour donner naissance à un imaginaire nouveau.