Goethe accordait beaucoup d'importance à cet ouvrage de dimension modeste et sa correspondance en témoigne : à partir de 1795, date de la parution du Conte, et tout au long de sa vie, il n'aura de cesse de rappeler à ses correspondants que ce petit texte n'est ni une charade, ni une fable, mais bien une oeuvre qui, par sa symbolique et sa poésie, tend à la totalité.