Dans ce récit, Catherine Borella témoigne de son expérience personnelle, douloureuse mais surmontée, de la non-fécondité. Elle invite ceux qui y sont confrontés, femmes et hommes, à refaire le chemin intérieur menant de la révolte au rire de la réconciliation avec soi-même. "Il y a d'abord ce vide, cette absence; Là où quelque chose devrait advenir : rien. La grossesse : ce qui advient, ce qui arrive."