Ce petit essai paru dix ans après la mort du philosophe entendait s'opposer à l'étude très répandue d'Alphonse de Waehlens, qui insistait sur l'ambiguïté de Merleau-Ponty, divisé entre phénoménologie et ontologie. Nous lui répondions, prenant appui sur la publication posthume : Le Visible et l'Invisible, que l'ambiguïté était dépassée par une véritable ontologie, comme l'avaient bien vu peu avant nous André Robinet et le Révérend Père Xavier Tilliette.