Dans cet essai en forme de pamphlet, écrit d’un seul jet, Hélène Parmelin propose qu’au lieu de proclamer partout la mort de l’art, on appelle les choses par leur nom : qu’on cesse de situer la contestation dans l’alliance avec les industriels, et la lignée de Rembrandt dans un carré, un flash ou une « nana ».