"En considérant le second des Bourbons à la lumière de la vérité, il nous est apparu que ce prince énigmatique était bien loin encore d'occuper le rang auquel il avait droit en tant que souverain et surtout en tant qu'homme. Il nous est apparu qu'à la place du fantoche, cher aux romanciers de l'histoire, se trouvait une personnalité d'une si grande richesse psychologique qu'il était permis de voir en elle un reflet des héros créés par les premiers génies du temps – un Shakespeare, un Corneille." Philippe Erlanger